« Les jeunes occupaient leur logement dans le cadre d’une convention d’occupation temporaire. Ils pouvaient percevoir l’APL et sur la base d’un engagement d’un an, donner chaque mois dix heures de leur temps, en contrepartie de l’exonération des charges locatives », détaille le CCAS. « Ils participent alors à des actions au sein de la résidence, en fonction de leur compétence ou de leurs affinités ».